deux
Rendez-vous à la mairie pour étudier la possibilité d’implanter Dédale dans la cour du Palais Granvelle. Lionel déroule un plan très convaincant du système coulissant. Nos interlocuteurs de la sécurité à la Ville de Besançon sont sur des rails, jusqu’au prochain rendez-vous.
90 panneaux pour 90 bougies (cela m’a été soufflé par un employé de Mantion).
Séance photo. Un pied pour ne pas avoir à utiliser de flash et réglages manuels. Pas facile pour moi de viser des gens. Je choisis une vitesse d’obturation très lente; les ouvriers s’effacent presque entièrement, tandis que les outils crépitent d’étincelles et la neige en gros flocons, dehors.
J’ai déjà travaillé en partenariat avec des entreprises qui me fournissaient en matière première mais là, « c’est Noël ». Mantion fabrique tout de A à Z : je suis un gamin qui se réveille chaque matin en pensant à son cadeau qui n’en finit pas de l’étonner.
Les maquettes sont un moyen de fabriquer moi-même quelque chose et surtout de garder vivant le lien qui m’unit à l’entreprise, c’est-à-dire d’être relié en pensées avec tous ceux qui travaillent sur Dédale. Ce sont aussi des objets d’étude qui m’aident à rendre concret le projet, et à anticiper sur toutes les questions que l’entreprise va me poser, au fur et à mesure de l’avancement.
Interroger Roland au sujet de l’histoire du Palais Granvelle.