dix-huit

Parmi les nouvelles que me font le plus plaisir après l’euphorie du vernissage il y a l’aveu de Didier qui se sent plus en confiance grâce ce projet réalisé avec brio. Et s’il prenait un nouveau départ chez Mantion ?

A tout seigneur, tout honneur; Didier, toujours lui, a eu l’idée géniale de la web-caméra. Elle a retransmis en direct, sur le net, le beau vernissage de samedi dernier.

Pieter Brueghel toujours où l’on voit des fêtes populaires et toutes sortes de gens qui s’affairent chacun de son côté mais dans une même toile, un même jour, une même fête et quelqu’autre qui les regarde, depuis le ciel.

Il y a une joie communicative à manœuvrer tous ces panneaux. Il suffit que quelqu’un lance le mouvement et tout le monde s’y met en long en large et en travers dans une belle anarchie inimaginable lorsque l’on voit la sculpture au repos.

Dimanche après avoir raccompagné Colette au train je n’ai pas pu m’empêcher de retourner au Palais Granvelle. 10 heures du matin, alors que j’ouvrais les panneaux mon téléphone sonne. Denis était déjà branché depuis le ciel et moi aux anges !